mardi 5 juillet 2011

Juin 2011 : Miguel Indurain, sortie montagne

Le week-end de la Pentecôte, quatre de nos coursiers sont allés faire la course à Pissos. C’était la première de Jérémy. Le samedi, Denis avait participé à la course de Rion des Landes.

Le 19 juin, nous partions de Bidache pour une randonnée au Pays Basque afin de préparer les futures échéances. Michel, un des anciens présidents, a parcouru près de 100 km vallonnés souvent en solitaire et à son rythme. Nous l’avons observé pendant son ascension de la côté de Uhart –Mixe, trois chevrons sur la carte, juste après avoir quitté la bonne table locale. Quant aux plus jeunes, nous nous sommes dirigés vers Pagolle et sa terrible montée vers Osquich. D’après une source locale, le Tour de France est passé par cette route pentue en 1977 et Bernard Thévenet lui-même s’en souvient encore. Le retour s’est fait via Mauléon, Ainharp, Saint Palais … Au total 160 km et 2 800 mètres de dénivelé. Un petit tour qui aura permis aux novices de découvrir quelques coins tranquilles et agréables pour pédaler et se maintenir en forme.

Le week-end suivant, Denis participait à la course de Léon. Bien en jambes, il a pu disputer une prime mais l’arrivée est arrivée trop tôt …

Pendant ce temps, nous étions trois à participer au grands parcours de la Miguel Indurain tandis nos amis sabrais avaient choisi de s’aligner sur le petit parcours. Les 20 premiers kilomètres se font en peloton mais tout explose à l’approche du col de Belate. Le grand parcours comporte six difficultés, dont deux ascensions du Belate. Les descentes sont roulantes. Un bris de chaîne, une insolation, des camions qui vous frôlent sur la Nationale …chacun aura de quoi raconter mais finalement tout le monde est arrivé à bon port.

Le lendemain, c’est la grosse canicule et Damien se retrouve sur le grand parcours de la Cyclo Béarn Espoir. 174 km, avec l’Aubisque, le Soulor et la Marie Blanque, parcourus en moins de 8 h et 8 bidons.

Bref, ce fut un mois de juin riche et le premier week-end de juillet n’a pas été triste non plus.

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